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Depuis 2018, la réglementation vis-à-vis du contrôle technique européenne a entré en France. Ainsi, le contrôle technique se répond aux mêmes directives qu’en Europe.On doit faire le contrôle technique dans le pays d’immatriculation de la voiture. Au programme, il y a un durcissement des règlementations pour les automobilistes. Dans cet article, nous allons voir les nouveaux changements qui alourdissent les conducteurs.
Le fait commence en 2018
En 2018, il y a une nouvelle sanction complémentaire avec une nouvelle catégorie de défaillances critiques. En effet, le nombre de défaillances majeur a augmenté pour être à 340. D’après les professionnels qui œuvrent dans le secteur automobile, il y a 2/3 contrôle qui devront passer une contre-visite, alors qu’auparavant, il y avait juste 1/3. On a organisé les sanctions suivant trois niveaux de sanctions pour controler monvehicule à aigrefeuille.
- 139 défaillances mineures. Les voitures doivent être réparées sans qu’on passe par la contre-visite.
- 340 défaillances majeures. Les voitures qu’on a passées à la contre-visite doivent le faire en moins de 2 mois en maximum.
- On compte 127 critiques et les voitures seront autorisées à circuler jusqu’au garage pour la réparation. Le lendemain, les voitures ne vont plus être autorisées à s’y déplacer.
La visite et la contre-visite le même jour
Le nouveau degré de défaillance critique oblige les propriétaires à passer à la contre-visite au même jour après avoir fait les réparations. Une voiture sur laquelle on constate de nombreuses défaillances critiques ne va plus pouvoir circuler dès le lendemain. Si les forces de l’ordre constatent que la voiture roule encore, ils vont imposer au conducteur une peine de 135 euros. Ce nouveau seuil concerne 3 % à 5 % des voitures. Par exemple, les pneus usés sont comptés comme étant une défaillance critique. On doit faire la réparation le même jour que le contrôle technique.